Publié le 5 août 2021
Les voitures électriques
Les voitures électriques sont considérées comme alternative propre aux moteurs à explosion. Par la promotion des véhicules électriques, les gouvernements en Europe veulent réduire l´émission de CO2 et remplir les obligations de l’Accord de Paris sur le climat. Les voitures électriques présentent, cependant, aussi des inconvénients et des défauts éthiques.
Une million voitures électriques roulent sur les routes allemandes, d’ici 2030 ce nombre devrait passer à 14 millions. Pour atteindre ces buts ambitieux, le gouvernement fédéral encourage chaque achat d´une nouvelle voiture électrique. D’autres gouvernements en Europe se montrent aussi de plus en plus respectueux du climat et de l’environnement et ils poussent la production des voitures électriques. L’électromobilité est un marché d’avenir où tout le monde aimerait jouer un rôle.
Il semble si simple : Les véhicules électriques émettent nettement moins de CO2 et ils sont chargés par le courant vert produit à partie de l’énergie solaire et éolienne. Zéro émission – c´est le but. Est-il possible ? Pas du tout. La majeure partie de notre courant électrique est encore produit à partir du charbon, du gaz et du pétrole – les principaux responsables de l’émission de CO2 totale.
Il faut ajouter que ce sont les voitures électriques qui nécessitent énormément de courant électrique. Pas seulement pour charger la batterie, mais surtout pour produire les voitures électriques il faut une immense quantité de courant. Cela pousse tant la consommation électrique que le bilan de CO2 nettement à la hausse. La production de la batterie seule provoque environ un tiers de l’émission de tous les gaz à effet de serre nocifs comme le CO2.
Les dommages écologiques et climatiques bien plus graves, qui s’accompagnent de la production des voitures électriques, sont peu visibles en Europe. Des pays en Amérique du Sud, en Asie et en Afrique sont encore plus concernés en échange. Il faut des quantités énormes des matières premières, surtout le lithium, pour la production de la batterie lithium-ion. Cinq à huit kilogrammes de lithium se trouvent dans une voiture électrique de milieu de gamme.
A côté de lithium on trouve encore d’autres matières premières comme le néodyme, le cobalt et le graphite dans un véhicule électrique. Bien que ces matières premières appartiennent aux soi-disant Terres Rares ou métaux de terres rares, elles ne sont pas si rares – au moins pas encore, car les besoins en ces matières premières augmentent rapidement. L’extraction de lithium a quadruplé en l’espace de dix ans. Même si l’expression « Terres Rares » est d’abord trompeuse, l’extraction de ces matières premières signifie une surexploitation énorme de la nature – avec des effets désastreux sur l´environnement, le climat et les hommes.
Le lithium et d’autres matières premières sont souvent exploités dans de pires conditions de travail. Le cobalt, qu’on utilise aussi pour la production des écrans des smartphones, est une matière particulièrement brûlante. On l’importe surtout du Congo. Dans les mines de cobalt là, des accidents se produisent fréquemment aussi parce qu’il manque d’équipement de protection. Ce sont souvent les enfants qui travaillent dans les mines.
A l’autre bout du monde, en Chine, le graphite est exploité dans des conditions extrêmement nuisibles à la santé. Lors de l’exploitation on travaille fréquemment avec des acides qui éliminent les métaux des puits de forage en les rinçant. Des produits résiduaires chimiques et des eaux usées toxiques pénètrent dans la nappe phréatique. Le plus souvent l’exploitation s’accompagne d’une consommation d’eau énorme. Au Chili, par exemple, où on extrait le lithium des lacs salés, des millions de litres d’eau s’évaporent. Les eaux souterraines se raréfient, des déserts se forment.
La liste pourrait se prolonger. Ce qui est clair : En principe, il est une bonne idée de réduire la consommation de CO2 en utilisant l’électromobilité et de protéger le climat et l’environnement en agissant ainsi. Pourtant, la pensée n’est pas réfléchie au bout. En ce moment, la production des voitures électriques implique des effets extrêmement nocifs sur le climat, l’environnement et même sur l’homme. Il est contreproductif de miser sur l’électromobilité en Europe, tant que l’émission de CO2 sera ainsi augmentée indirectement et l’environnement sera détruit par l’exploitation de ressources naturelles.
Un autre aspect de la voiture électrique reste souvent inaperçu. Avec une longueur de jusqu’à 8.000 mètres de câbles, environ 100 composants électrique et électroniques et des batteries avec une capacité de jusqu’à 100 kilowatt, la voiture électrique est une source de rayonnement électromagnétique. Sur un espace très réduit c’est une énorme exposition aux radiations pour le conducteur et les passagers.
La radiation augmente avec chaque composant électrique. Les véhicules diesel et à essence, eux aussi sont des stations high-tech dans lesquelles les automobilistes sont exposés au smog électromagnétique en permanence. Nous interconnectons souvent notre smartphone, notre casque audio et le système multimédia pour profiter du temps dans la voiture. C’est pratique et confortable, mais de plus en plus de personnes remarquent la charge par l’électrosmog. Elles se sentent mal à l’aise même pendant les trajets courts. Beaucoup de gens qui passent beaucoup de temps dans la voiture, deviendront rapidement fatigués et auront mal à la tête.
Plus sur les effets de la radiation dans la voiture:
Une million voitures électriques roulent sur les routes allemandes, d’ici 2030 ce nombre devrait passer à 14 millions. Pour atteindre ces buts ambitieux, le gouvernement fédéral encourage chaque achat d´une nouvelle voiture électrique. D’autres gouvernements en Europe se montrent aussi de plus en plus respectueux du climat et de l’environnement et ils poussent la production des voitures électriques. L’électromobilité est un marché d’avenir où tout le monde aimerait jouer un rôle.
Consommation électrique et émission de CO2 élevées
Il semble si simple : Les véhicules électriques émettent nettement moins de CO2 et ils sont chargés par le courant vert produit à partie de l’énergie solaire et éolienne. Zéro émission – c´est le but. Est-il possible ? Pas du tout. La majeure partie de notre courant électrique est encore produit à partir du charbon, du gaz et du pétrole – les principaux responsables de l’émission de CO2 totale.
Il faut ajouter que ce sont les voitures électriques qui nécessitent énormément de courant électrique. Pas seulement pour charger la batterie, mais surtout pour produire les voitures électriques il faut une immense quantité de courant. Cela pousse tant la consommation électrique que le bilan de CO2 nettement à la hausse. La production de la batterie seule provoque environ un tiers de l’émission de tous les gaz à effet de serre nocifs comme le CO2.
Effets sur l´environnement, le climat et les hommes
Les dommages écologiques et climatiques bien plus graves, qui s’accompagnent de la production des voitures électriques, sont peu visibles en Europe. Des pays en Amérique du Sud, en Asie et en Afrique sont encore plus concernés en échange. Il faut des quantités énormes des matières premières, surtout le lithium, pour la production de la batterie lithium-ion. Cinq à huit kilogrammes de lithium se trouvent dans une voiture électrique de milieu de gamme.
A côté de lithium on trouve encore d’autres matières premières comme le néodyme, le cobalt et le graphite dans un véhicule électrique. Bien que ces matières premières appartiennent aux soi-disant Terres Rares ou métaux de terres rares, elles ne sont pas si rares – au moins pas encore, car les besoins en ces matières premières augmentent rapidement. L’extraction de lithium a quadruplé en l’espace de dix ans. Même si l’expression « Terres Rares » est d’abord trompeuse, l’extraction de ces matières premières signifie une surexploitation énorme de la nature – avec des effets désastreux sur l´environnement, le climat et les hommes.
Le lithium et d’autres matières premières sont souvent exploités dans de pires conditions de travail. Le cobalt, qu’on utilise aussi pour la production des écrans des smartphones, est une matière particulièrement brûlante. On l’importe surtout du Congo. Dans les mines de cobalt là, des accidents se produisent fréquemment aussi parce qu’il manque d’équipement de protection. Ce sont souvent les enfants qui travaillent dans les mines.
A l’autre bout du monde, en Chine, le graphite est exploité dans des conditions extrêmement nuisibles à la santé. Lors de l’exploitation on travaille fréquemment avec des acides qui éliminent les métaux des puits de forage en les rinçant. Des produits résiduaires chimiques et des eaux usées toxiques pénètrent dans la nappe phréatique. Le plus souvent l’exploitation s’accompagne d’une consommation d’eau énorme. Au Chili, par exemple, où on extrait le lithium des lacs salés, des millions de litres d’eau s’évaporent. Les eaux souterraines se raréfient, des déserts se forment.
La liste pourrait se prolonger. Ce qui est clair : En principe, il est une bonne idée de réduire la consommation de CO2 en utilisant l’électromobilité et de protéger le climat et l’environnement en agissant ainsi. Pourtant, la pensée n’est pas réfléchie au bout. En ce moment, la production des voitures électriques implique des effets extrêmement nocifs sur le climat, l’environnement et même sur l’homme. Il est contreproductif de miser sur l’électromobilité en Europe, tant que l’émission de CO2 sera ainsi augmentée indirectement et l’environnement sera détruit par l’exploitation de ressources naturelles.
Plus de charge par l’électrosmog
Un autre aspect de la voiture électrique reste souvent inaperçu. Avec une longueur de jusqu’à 8.000 mètres de câbles, environ 100 composants électrique et électroniques et des batteries avec une capacité de jusqu’à 100 kilowatt, la voiture électrique est une source de rayonnement électromagnétique. Sur un espace très réduit c’est une énorme exposition aux radiations pour le conducteur et les passagers.
La radiation augmente avec chaque composant électrique. Les véhicules diesel et à essence, eux aussi sont des stations high-tech dans lesquelles les automobilistes sont exposés au smog électromagnétique en permanence. Nous interconnectons souvent notre smartphone, notre casque audio et le système multimédia pour profiter du temps dans la voiture. C’est pratique et confortable, mais de plus en plus de personnes remarquent la charge par l’électrosmog. Elles se sentent mal à l’aise même pendant les trajets courts. Beaucoup de gens qui passent beaucoup de temps dans la voiture, deviendront rapidement fatigués et auront mal à la tête.
Plus sur les effets de la radiation dans la voiture:
Voiture électrique, hybride, modèle à essence ou véhicule diesel : La technologie memon est capable de neutraliser les effets nocifs de l’exposition aux radiations et de protéger les automobilistes contre l’électrosmog. De plus : moins d’options techniques dans une voitures, moins d’exposition aux radiations. C’est pourquoi chacun doit réfléchir à ce dont on a vraiment besoin dans la voiture et à ce qu’on peut renoncer.
En savoir plus
En savoir plus